Pourquoi existe-t-il des fleurs plus picturales que d’autres ?
« La fleur, la floraison, c’est l’éclosion de la vie, son affirmation sous l’aspect d’une plénitude, d’une joie de lumière et de couleurs grâce auxquelles celle-ci explose et s’expose à notre ravissement », ainsi viennent les mots sous la plume de Norbert Hillaire face aux Iris de Roger Cosme Estève. Le peintre, qui vit et travaille à Perpignan, là où il y a plus de 15 ans ArtsHebdoMédias l’avait rencontré pour la première fois, est de passage à Paris. Valérie Grais l’accueille à la Galerie Convergences jusqu’au 29 juin. A ne pas manquer.
On a pu se demander pourquoi telle fleur avait pris cette forme-ci plutôt que celle-là*. Les œuvres d’Estève invitent à se poser une autre question : pourquoi existe-t-il des fleurs plus picturales que d’autres ? Bien sûr il y a le précédent de Van Gogh, qui aura su mieux que nul autre révéler la …
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