Le cinéma dans la ville 2.0

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Si le cinéma résone à ce point dans l’espace du collectif, dont il est consititutif dans les sociétés de masse, et si ses lieux ne peuvent se penser autrement que selon le modèle de la chôra, soit de sa relation avec l’espace public en génaral, il devient nécessaire de mettre en relation confictuelle et problématique la ville contemporaine, son devenir cinématique, ses architectures interactives  (jsqu’à la ville 2.0), et les lieux de cinéma proprement dit. Jusqu’à envisager de renverser la croyance ordinaire selon laquelle le cinéma serait le lieu d’une réception passive, et s’opposerait à la montée en puissance de ces écrans qui vont fleurir dans la ville 2.0, et qui se présentent selon le modèle d’une interactivité étendue aux dimensions de l’espace commun, comme on l’a vu avec l’hypothèse de l’habitèle. Cette montée en puissance d’un e ville cinématique prend aujourd’hui la forme de ce que certaines appellent la ville 2.0, traversée par l’existence d’un 5° écran.
On peut ainsi lire sous la plume des auteurs d’un rapport sur la ville 2.0 ceci:
« Le « 5e écran » est un concept innovant de médias dans la ville. Il est dénommé ainsi car il émerge après l’écran public qu’est le cinéma, l’écran collectif qu’est la télévision, l’écran personnel qu’est celui de l’ordinateur et l’écran intime du téléphone mobile. Le programme Villes 2.0 et ses partenaires se sont donnés comme défi de définir ce concept innovant, d’identifier les besoins émergents et réels auxquels il répond et donc de tenter de déterminer les fonctionnalités de cette « plate-forme » urbaine.  De nombreuses expériences, initiatives et projets existants sont déjà de l’ordre du 5ème écran et introduisent ce concept systémique (écrans urbains, Match, Dash, Twitter…).

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